Publié le 18 fév 2021Lecture 1 min
Plus d’hésitation pour la vaccination contre le papillomavirus
Dongwon Yoon et coll. BMJ 2021 ; 372 : m4931.
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Plus de 441 000 adolescentes de 11 à 14 ans, vaccinées en 2017 ont été incluses dans cette étude coréenne. Parmi elles, 382 000 avaient reçu le vaccin contre le papillomavirus (HPV), les autres un autre vaccin (diphtérie, tétanos, encéphalite japonaise ou coqueluche acellulaire). L'objectif était de comparer les taux de survenue de 33 types d’événements indésirables graves (en lien avec l’auto-immunité ou non : pathologies endocriniennes, gastro-intestinales, musculo-squelettiques, neurologiques, etc.), pendant une période de risque de 1 an. Aucun des événements indésirables prédéfinis n’est associé à la vaccination contre le HPV, un doute subsiste en ce qui concerne la migraine. Une analyse secondaire ne portant que sur les filles vaccinées contre le HPV, ne retrouve pas de lien entre la vaccination et les évènements indésirables graves, y compris la migraine (RR ajusté 0,67 ; IV 0,58 à 0,78).
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