Publié le 17 déc 2020Lecture 1 min
Encore une étude sur le rôle du THS sur le risque de cancer du sein
Vinogradova Y et coll. BMJ 2020 ; 371 : m3873.
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Cette étude cas-témoins « emboîtés », qui a inclus près de 100 000 femmes âgées de 50 à 79 ans, chez lesquelles a été diagnostiqué un cancer du sein entre 1998 et 2018 appariées avec plus de 450 000 témoins avait pour objectif de préciser le risque de cancer du sein associé aux différents types et durées de traitement hormonal substitutif (THS). En comparaison avec l’absence de prise de THS, l’exposition au traitement est associée à une augmentation de 21 % du risque. Celle-ci est en grande partie attribuable aux traitements combinés (+ 26 %), alors que les estrogènes seuls ne conduisent qu’à une faible augmentation (0,6 %). Pour les traitements combinés, le risque le plus élevé est observé avec la noréthistérone (88 %) et le plus faible avec la dydrogestérone (24 %). Le risque s’élève avec la durée du traitement et décroit après l’arrêt de celui-ci.
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